Lorsqu’on comprend on n’a plus peur : la greffe capillaire en détails

Lorsqu’on comprend on n’a plus peur : la greffe capillaire en détails

par | 28 août 2018

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En quoi consiste la greffe capillaire ?

Avant toute démarche, il faut savoir que la greffe capillaire ne doit être envisagée qu’à partir du moment où toutes les causes de calvitie ont été étudiées et que les phénomènes ponctuels ont été éliminés. S’il est vrai que l’apparition d’une calvitie est dans la grande majorité des cas, un constat traumatisant pour celui ou celle qui commence à avoir des problème avec son image, il est aussi vrai qu’il ne faut surtout pas s’affoler trop vite.

Parfois la simple prise d’un médicament peut provoquer une alopécie qui disparaîtra naturellement à l’arrêt de la prise de la molécule incriminée. La chute des cheveux peut aussi provenir d’une situation de stress intense ou d’un épisode de fatigue grave après un accouchement, une maladie ou un traitement médicamenteux particulier comme la chimiothérapie par exemple.

Dans tous les cas, avant d’envisager une greffe capillaire, il convient de faire un diagnostic précis de l’origine de la chute des cheveux en s’adressant à un médecin spécialisé. S’il s’avère qu’il s’agit d’une calvitie androgénétique, donc provoquée principalement par l’hérédité, la greffe capillaire sera la solution idéale pour ne plus souffrir devant son miroir et surtout devant le regard des autres qu’on imagine, à tort ou à raison, dégradant.

Si certains s’accommodent très facilement de leur calvitie, certains ou certaines autres sont complètement déstabilisés, perdent leur confiance en soi avec des répercussions parfois graves sur leur vie professionnelle, leur vie familiale et sociale.

La greffe capillaire pour tous

De nos jours, la greffe capillaire est très facilement accessible. Si cette méthode pour remédier à la chute des cheveux et devenue très facile et mettre en œuvre avec des résultats spectaculaires, il convient néanmoins de s’adresser à un centre de soins esthétiques dont les compétences et les conditions sanitaires sont bien identifiées.

Il faut d’abord avoir en présence des spécialiste rompus à toutes les techniques et capables de poser un diagnostic capillaire complet. Les évolutions technologiques de dernière génération, notamment l’implantation capillaire automatisée par le robot Artas a révolutionné la manière de traiter la calvitie. Il s’agit d’une méthode chirurgicale non invasive, qui ne demande aucune éviction sociale, le patient reprend ses activités dès la fin de chaque séance. Le robot Artas prélève des greffons de façon aléatoire sur l’arrière et les bords du crâne pour les réimplanter sur les zones dégarnies afin de densifier la coiffure tout en lui donnant un aspect très naturel.

Le prélèvement automatisé, piloté par le praticien et l’imagerie médicale incorporée, est une méthode rapide, sans douleur et qui demande un nombre restreint de séances du fait que les greffons sont pratiquement exempts de sectionnement accidentel comme cela est inévitable lors d’une greffe manuelle. On obtient même d’excellents résultats sur des cheveux crépus ou très frisés alors qu’ils sont plus difficiles à prélever sans dommage du fait qu’ils continuent de friser sous la peau.

L’implant capillaire n’est plus du tout réservé à certains privilégiés, la robotisation du système l’a mis à la portée de tout un chacun d’autant plus qu’à présent les séances sont plus courtes, moins nombreuses et surtout indolores.

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