Si longtemps la chute de cheveux était considérée comme une affaire d’homme, ce n’est plus tellement cas. La parole des femmes touchées par l’alopécie se libère, et de nombreux témoignages en ligne montrent que cette pathologie – qui se présente différemment que chez les hommes – est plus répandue qu’on ne le croit. D’ailleurs, elles seraient environs 16% à en souffrir (soit près d’1 femme sur 5), tous types d’alopécies confondues.
S’il existe des traitements « classiques » contre la chute de cheveux féminine, les implants synthétiques, jadis décriés, représentent en réalité une révolution dans le domaine.
Alopécie féminine : un casse-tête
Si le diagnostic en matière de chute de cheveux chez l’homme est souvent relativement simple – une calvitie, soit un type de chute de cheveux héréditaire et hormono-dépendant –, chez les femmes, il l’est moins.
De nombreuses causes et facteurs aggravants peuvent être à l’origine d’une perte de densité capillaire et d’une alopécie. Elle peut être transitoire comme c’est le cas après une grossesse, en raison d’un traitement médicamenteux, encore d’une carence ou alors chronique, comme pour la maladie auto-immune entraînant la pelade – dont souffre probablement Jada Pinkett-Smith.
Un bilan hormonal et sanguin est donc absolument indispensable…mais pas toujours concluant.
« Si le bilan hormonal et sanguin sert, THE CLINIC propose de réaliser un trichotest : un test ADN complet qui analyse en détails les caractéristiques du génome de la patiente afin d’en retirer des informations concernant les causes de son alopécie. »
Pourtant, la calvitie féminine existe bel et bien. Héréditaire et hormono-dépendante tout comme sa version masculine, elle se manifeste le plus souvent à la ménopause. Parce que leur production baisse, les hormones féminines ne peuvent alors plus contrer les effets néfastes de la DHT – issue de la testostérone que les femmes produisent aussi – sur le cycle du cheveu, à l’origine d’un affinement progressif de la chevelure, qui finit par se clairsemer.
Le problème est que chez la femme, l’évolution de la calvitie est différente de chez l’homme. Alors que chez ce dernier elle se concentre d’abord sur les golfes, puis la tonsure et épargne la couronne hippocratique, cette alopécie est diffuse chez la femme et touche bien souvent l’ensemble de la chevelure…
Calvitie et chute de cheveux féminine : quels sont les traitements ?
Les cheveux représentent la force de vie. Et chez la femme, un symbole de féminité, de séduction. Perdre ses cheveux, c’est perdre sa part vitale, une part de ce qui rend femme, de ce qui rend belle.
C’est devoir affronter son propre regard dans le miroir, mais aussi celui des autres, de son compagnon/sa compagne, sa famille, ses amis ou même d’inconnus. Et cela peut être extrêmement douloureux.
Quand on a une calvitie en tant que femme, comment y remédier ? Y-a-t-il des traitements ?
Oui, en fonction de l’importance de la perte de cheveux, on peut se tourner vers :
- Le plus conventionnel (et souvent prescrit en première intention) reste le Minoxidil, une lotion vendue en pharmacie en libre-service et qu’il faut appliquer tous les jours matin et soir. Cela n’est souvent pas suffisant pour retrouver sa chevelure, toutefois le Minoxidil ralentit bel et bien la chute. Comme il est vasodilatateur, il permet également que les bulbes soient mieux nourris et renforce ainsi les cheveux.
- Certaines femmes optent pour la trichopigmentation – ou micropigmentation – une sorte de tatouage du cuir chevelu qui par effet d’optique donne l’illusion d’une plus grande épaisseur et densité…sur les cheveux foncés ! Si cette technique cosmétique peut vraiment améliorer l’image de soi, elle n’est parfois pas suffisante ou tout simplement pas satisfaisante d’un point de vue personnel ;
- Des injections de peptides ou de vitamines directement au niveau du cuir chevelu, ou de Plasma Riche en Plaquettes (PRP) permettent également de stimuler la repousse et augmenter le diamètre capillaire ;
- Et la greffe capillaire dans tout ça ? C’est bien là le problème : parce que la calvitie est diffuse, impossible de prélever des cheveux sains à l’arrière de la tête. Cette solution est donc rarement envisageable.
- Certaines femmes se tournent vers les perruques. Car les traitements ne dont pas non plus des miracles, et ne suffisent souvent pas à enrayer le processus de chute lié à l’alopécie, surtout si elle d’origine andro-génétique (calvitie).
Mais de nouveaux types d’implants de cheveux donnent de l’espoir : les implants capillaires synthétiques Hairstetics.
Hairstetics : une solution sur-mesure pour l’alopécie féminine
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